De quoi faire bisquer les malakoffiots et, plus généralement, toute personne croulant sous le labeur quotidien. Ô pôvres, je compatis !
Nyark nyark quand même :p
Nyark nyark quand même :p
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En soi, ça n'est pas difficile de revenir ici. Le plus dur, c'est de partir de là bas... Aaah (soupir nostalgique), Budapest széretlek!
"Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage", chantait Brassens. Alors moi, Penelope, j'ai saisi l'opportunité Erasmus et j'm'expat'. Buda' m'accueille pour 5 ou 6 mois, voire plus si affinités... Une expérience à partager, me dis-je. D'où l'idée d'écrire ma rhapsodie hongroise
Xpat life
Retour à la case Paris.
En soi, ça n'est pas difficile de revenir ici. Le plus dur, c'est de partir de là bas... Aaah (soupir nostalgique), Budapest széretlek!
3 commentaires:
Il faudra un jour que je te montre mon emploi du temps du second semestre. niark niark niark
ô dieu...Ce n'est tout bonnement pas normal...
Mais bon au moins ça te laisse du temps pour le côté culturel de ton séjour!
En espérant que ce début de séjour justement se passe bien,
je t'embrasse!
Hélène (la Malakoffiote...est-ce que ça se dit...)
C EST INADMISSIBLE !!! VOILA !!! j'suis pas d'accord, foncièrement contre, totalement opposée à cet emploi du temps provocateur !!
zut!
flute...
crooootte !!!!
voila...
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